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IVAN ESPOSITO
(...) Paysages métaphisiques sont peuplés de corps ou de statues, de figures humaines, vraisemblables ou faussés, qui envahissent le tableau en devenant l’axe porteur.
D’autre fois, l’homme, de protagoniste, se réduit en comparse et ne devient qu’un simple facteur d’échelle en face de la majestueuse architecture des vestiges romaines.
Cet aller-retour entre le dessin et le subconscient, transforme l’observateur de simple spectateur à protagoniste des scènes racontées.
A mi-chemin entre souvenir et utopie, le dessin se transforme, ainsi, dans une scène, ou chacun pourrait retrouver son propre visage, sa mélancolie et ses paysages oniriques.
(Vincenza Provenzano)
(...) Paesaggi metafisici popolati di corpi e di statue, di figure umane, verosimili o distorte, invadono la scena diventandone i soggetti principali.
Al contrario, l'uomo, da protagonista, si riduce a semplice fattore di scala di fronte alle maestose vestige romane. Questo oscillare tra disegno e subcoscente trasforma l'osservatore da semplice spettatore a protagonista delle scene ritratte. A metà strada tra ricordo ed utopia il disegno si trasforma così in una scena teatrale, ove ciascuno potrebbe ritrovare il proprio volto, la propria malinconia ed i propri paesaggi onirici.
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